La société Benchmark a édité au mois de juin 2010 une étude de 60 pages sur le marché du référencement en France, qui tente d'apporter quelques réponses à de nombreuses questions : Quels effectifs et quels budgets les entreprises françaises consacrent-elles au référencement naturel ? Quels objectifs se fixent-elles en termes de positionnement et de création de trafic ? Dans quelle mesure sont-ils atteints ? Quelles actions d'optimisation de leur contenu, de leur structure et de leur netlinking sont jugés les plus efficaces ? Comment le référencement universel, géolocalisé et mobile est-il pris en compte ? Quelles solutions sont utilisées pour le suivi du positionnement ? Quelles sont les tâches externalisées ? Comment les sites évaluent-ils la qualité des prestataires ? Comptent-ils en changer ? Voici, en quelques pages, quelques chiffres-clés révélés par cette étude qui contient plus de 60 pages en tout...
Cet article fait partie de la Lettre Réacteur #118 du mois de septembre 2010
Début de l'article :
Référencement naturel : introduction
Méthodologie
Cette enquête en ligne a été menée au cours du mois d'avril 2010 auprès de 143 personnes impliquées dans les actions de référencement de leur site.
Les effectifs
Pour gérer les tâches liées au référencement naturel de leur site principal, les entreprises emploient en moyenne un peu plus d'une personne. Ici, nous ne prenons en compte que les personnes s'occupant plus de la moitié de leur temps de référencement naturel.
Quatre sites sur cinq ne comptent qu'une seule personne aux actions de référencement naturel.
Nombre de personnes s'occupant plus de la moitié de leur temps de référencement naturel
Les budgets
Le budget moyen consacré au référencement naturel du site principal est de 16 150 euros. Il s'avère que le budget référencement progresse avec l'audience du site. La moyenne est donc tirée vers le haut par quelques sites à très forte audience. Ainsi, pour la moitié des entreprises interrogées, ce budget est inférieur à 5 000 euros.
Fichier PDF téléchargeable ici (la lettre Réacteur n'était à cette époque-là disponible que sous cette forme).