Twitter a popularisé la notion de "hashtag", qui permet de signifier par des mots clés le contenu d'un message. Ainsi, plusieurs outils se sont spécialisé dans la recherche sur ces hashtags pour mieux hiérarchiser l'information. En voici quatre, qui ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients, mais qui devraient vous faire gagner beaucoup de temps dans votre quotidien numérique...
Cet article fait partie de la Lettre Réacteur #154 du mois de décembre 2013
Début de l'article :
S’il y a un symbole que l’on retient de Twitter, même si on ne l’utilise pas, c’est bien la présence de dièses un peu partout dans les messages qu’on y lit. Les "hashtags" ou encore "mots-dièse" sont utilisés depuis 2007 dans ce service comme des métadonnées, c'est-à-dire comme des marqueurs qui permettent au twittos de décrire le contenu du message qu’il publie. On ajoutera par exemple #search pour indiquer que le tweet envoyé traite de moteurs de recherche ou renvoie vers un moteur de recherche.
Le fait de faire précéder un mot d’un dièse le transforme en un lien cliquable renvoyant vers une page qui centralise l’ensemble des messages publiés sur Twitter utilisant ce même hashtag.
Il existe donc autant de pages thématiques que de hashtags créés.
Le succès de ce système est tel que Twitter n’est plus le seul à en proposer l’utilisation. Facebook permet également cet usage depuis juin dernier ainsi que Google+, Instagram, Vine ou encore Flickr.
Concrêtement, l’intérêt des hashtags est triple :
- Permettre aux marques, annonceurs et diffuseurs quels qu’ils soient (vous, moi) d’identifier les tweets qu’ils diffusent (attention au contre-usage du hashtag par des clients/utilisateurs/usagers mécontents).
- Suivre la page de tweets diffusés autour d’un évènement, c’est le principe du « livetweet ».
- Voir émerger et suivre des tendances en cliquant dans l’onglet « # Découvrir » de son compte Twitter.
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Fichier PDF téléchargeable ici (la lettre Réacteur n'était à cette époque-là disponible que sous cette forme).