Depuis plusieurs mois, les pages de résultats de Google connaissent de nombreux soubresaults, parfois comparables à des tremblements de terre. De quoi s'agit-il exactement ? Comment faire la part des choses entre Panda, les Quality Updates et autres Phantom ? Tous ces événements, filtres et mises à jour ont-ils un lien entre eux ? Cet article tente de faire le tri entre toutes les informations publiées à ce sujet et d'analyser la situation pour donner des conseils aux sites ayant parfois durement subi ces changements dans les algorithmes de Google.
Début de l'article :
Depuis fin avril 2015, les pages de résultats de Google sont régulièrement agitées par des mises à jour que les porte-parole de Google confirment avec réticence et souvent tardivement, voire ne veulent pas commenter. Pourtant, l’impact de ces mises à jour est souvent spectaculaire et très visible dans des outils comme Mozcast ou Algoroo. Glenn Gabe, de GSQi, les a surnommées “Phantom”. On les appelle aussi “Quality Updates” le plus souvent, car lorsque quelqu’un de Google confirme qu’il s’est passé quelque chose, il ajoute que ce changement dans l’algorithme était lié aux critères de qualité.
Ces dernières semaines, les pages de résultats de Google ont été fortement réordonnées par des changements algorithmiques très visibles : s’agissait-il de ces mises à jour “Phantom” alias les Quality Updates ? Ou d’autre chose ? Et qu’est-ce qui se cache derrière ces changements algorithmiques particulièrement impactants pour certains sites ?
Les mises à jour Phantom I, II et III ont déja fait l’objet d’articles dans la lettre professionnelle d’Abondance, et je vous invite à les relire si vous souhaitez connaître en détail leurs caractéristiques respectives, notamment sur les sites impactés. Je me contenterai donc de faire un bref rappel de l’historique des mises à jour, avant de me pencher sur les évènements les plus récents et essayer d’analyser ce qui se passe dans l’algorithme de Google.
Petit historique des mises à jour “Phantom” ...
Fichier PDF téléchargeable ici (la lettre Réacteur n'était à cette époque-là disponible que sous cette forme).